N° 34 168 - Fil d'Ari(h)ane
N° 33 168 - Vice-présidente La Chaux-de-Fonds
N° 32 168 - Rédacteur du bulletin
N° 31 168 - Présidente du Val-de-Travers
N° 30 168 - Présidente de Neuchâtel
N° 29 168 - Président du Locle
N° 28 168 - Président cantonal
N° 27 168 - Parole aux jeunes
N° 26 168 - Page climat
N° 25 166 - Un homme du peuple
N° 24 165 Hiver - Suite d'une histoire au 10b
N° 23 165 Hiver - Hommage à Roland
N° 22 165 Hiver - Entretien avec
N° 21 162 - Reportage Noël 2017
N° 20 160 - Le soliloque du Grincheux
N° 19 158 - Que sont les prestations complémentaires
N° 18 158 - Coût de la santé
N° 17 157 - Le soliloque du Grincheux
N° 16 155 - Le Soliloque du Grincheux
N° 15 153 - Les conducteurs âgés sous la loupe
N° 14 153 - Il manquait la plume !
N° 13 152 - Le soliloque du Grincheux
N° 12 152 - Grands-parents pour le climat
N° 11 151 - Le soliloque du Grincheux
N° 10 151 - L Etat tique
N°  9   150 - Le soliloque du Grincheux
N°  8   Les plus démunis
N°  7   149 - Le soliloque du Grincheux
N°  6   149 - Christiane Jaquet-Berger
N°  5   Assurance-maladie
N°  4   148 - Oui ou Non - Christiane Jaquet-Berger
N°  3   146 - Christiane Jaquet-Berger
N°  2   146-Le soliloque du grincheux
N°  1   145-Le soliloque du grincheux

152 - Le soliloque du Grincheux

Poules en location

 « Viens Poupoule, viens… ». Cette chanson de Mayol faisait fureur en 1932. Et sans doute peu d’entre vous arrivent encore à fredonner cet air qui fit le tour du monde à une époque où régnait une franche insouciance, ça commençait par : « Le samedi soir après le turbin l’ouvrier parisien, etc. ». Des chansons qui disaient quelque chose, même si c’était naïf. Pas comme aujourd’hui où l’on nous sert à longueur de journée les pires stupidités, les pires « niaiseries » et les pires médiocrités en anglais de surcroît.

Cette chanson a-t-elle inspiré un entrepreneur fribourgeois ? Certainement pas. Il n’en demeure pas moins que l’idée qu’il a développée a le mérite d’être originale, et c’est peu dire. Aujourd’hui on peut louer beaucoup de choses, un logement, des voitures, des machines, des vêtements, etc. Mais là, notre ami fribourgeois, a frappé très fort : Il loue… des poules.


                                 

 

Vivantes bien sûr et en parfaite santé. Avec le matériel qui va avec tels que poulailler, abreuvoir, mangeoire, paille, copeaux, etc. Pour une modique somme qui va de 50 à 100 francs par mois environ, vous vous engagez à soigner votre ou vos poules et en contrepartie vous obtenez régulièrement des œufs frais et parfaitement Bio. Vous partez en vacances, pas de problème, vous restituez provisoirement vos protégées. Idem quand elles cessent de pondre ou en hiver.

C’est innovateur et ingénieux non ? Et c’est nettement moins cher que de louer une poule pour une heure ou une nuit… Mais ça c’est un autre chapitre !

« Celui qui mange un œuf ne sait pas si la poule a eu mal au derrière »    (proverbe africain).

Le grincheux : C.L.